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 magie en Egypte

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MessageSujet: magie en Egypte   magie en Egypte EmptyMar 2 Nov à 10:19

magie en Egypte Pangel_2 La magie en Egypte magie en Egypte Pangel_2

Bonjour magie en Egypte K_coeur1

Chez les anciens Égyptien il y avait la croyance que, en agissant hors d’une situation spéciale, on obtenait un résultat par moyens symboliques dans ce monde ou dans l’avenir à cause d’une force impersonnelle, moralement neutre et mystique qui servait les hommes et les êtres surnaturels.

Le moyen premier de communication est le monde (enchantements, comme malédictions ou conjurations) appuyé par un acte, réduit aussi à une allusion ou un geste, ou souvent d’un instrument ou médicament dont la force était appuyée (ou aussi rationalisée) d'une prière.

La pureté rituelle est une condition nécessaire dans le rituel. En effet la magie est un acte créateur où un certain signifiant provoque souvent un signifié avec une série compliquée de raisons fondamentales pour la réciprocité, l'attribution, la contiguïté; semblablement elle est expliquée souvent au niveau de mythe.

Un but peut être obtenu en petites actions sans s’éloigner trop d’une base ontologique, aussi dans l'invocation d’un dieu par une brève prière. Mais en performances plus sophistiquées de magie journalière, l’exécutant peut travailler souvent dans un contexte plus ample de forces continues et transcendantaux, pour la plus grande partie démons .

Le rôle de l’exécutant peut être celui de camarade, messager, serviteur, etc., ou aussi d’égal au dieu (imitation) ou rester au niveau seulement de narrateur.

La Magie se basait sur marches différentes concernant symboles sacrés, sujets mythiques, comparaisons spéciales, supplications, menaces. En outre les instruments étaient de type sacré ou de type substitutif (statuettes de cire, petites stèles, etc. )

On peut dire que la Magie égyptienne peut être considérée comme un des nombreux systèmes de relations avec le surnaturel, témoigné par (et témoignant) déterminées croyances avec propres ramifications.

Prononciation, acte et, souvent, instruments sont semblablement saillants dans la pratique cultuelle où il s'applique un système semblable de valeurs séméiotiques contiguës.

À part le rôle de l'opérateur (roi ou prêtre quel roi) but (commun) occasion (régulier) et endroit (sanctuaire, temple) la différence entre magie cultuelle et pensante est que :

magie en Egypte 1639 la première cherche de communiquer, affirmer, accepter et spécialement décrire l’opéré des forces surnaturelles comme facteurs expressifs pour formes d'expressions humaines;

magie en Egypte 1639 la seconde est intéressée plus, par contre, à manipuler telles forces.

En cette manière, culte et magie sont complémentaires et en relation symbiotique dans le noyau de l'expérience religieuse égyptienne; jamais donc en conflit car tendant à délinéer la même substance des idées théologiques.

Le terme principal pour Magie est HkA, force magique utilisée pour manifestations différentes. Ce terme désigne la personnification de la Magie comme dieu aussi. Il y a parallèlement un autre terme, Axw qu'on peut rendre comme personnalité illuminée (entendu comme niveau optimal d'existence) plus rapporté cependant à la puissance magique de la sphère divine (ou des morts).

Même si avec différences légères, le HkA et le Axw atteignent les mêmes buts.

Un dernier terme, bAw exprime une espèce de force transcendante ou influence, dérivée du roi et/ou des dieux.

Beaucoup d'autres termes révèlent aspects mineurs de la Magie, et ils exemplifient ses effets secondaires de force ou puissance (sxm; pHty; At) terreur; peur (snD; SfSft; Sat) prestige (qfAt; aA; wr) ou protection (zAw; wDAw).

Toujours selon la pensée égyptienne, la Magie est une force originaire qui a rendu possible de la part du dieu et sert aussi à la maintenir ( par la main ou la bouche). La déesse Isis est une grande sorcière; le serpent Apep est neutralisé avec l'émission de la Magie.

La Magie est ainsi une arme divine, qui frappe de surprise l'ennemi, anéantit ses attaques en garantissant sûreté et ordre au monde perpétuellement menacé par forces sournoises et hostiles.

Les forces du Chaos précédent la Création ne sont pas du tout dominées, en provoquant une lutte continue qui est menée par les dieux dans le Ciel et dans les Enfers, mais aussi sur la Terre dans la personne du roi. Seulement les dieux possèdent l’énergie créatrice de la Magie; donc, celui qui a pouvoirs magiques doit assumer le rôle d'une divinité avant tout pour se servir de cette force dangereuse.

La Magie joint ainsi dans les mains de l’homme qui l’utilise aussi comme d'habitude pour buts méchants. En effets le dieu créateur a donné aux hommes cette arme comme instrument de défense; mais les hommes furent fascinés par ses particularités et ils ne considérèrent pas les conséquences de cet usage. Ils n’hésitèrent pas à transformer donc ce moyen de défense en arme blessante, même contre les dieux.

Cette force servit pour enchantements, envoûtements, intérêts égoïstes et agressifs. L'opérateur n’hésita pas à appeler entités de la quatrième dimension pour les asservir à ses buts et en faire voir de toutes les couleurs…jusqu’à tenter la destruction du monde! Ceux qui opérèrent contre le roi Ramsès III (1184-1153 a.C. env.) tentèrent, avec succès partiel, d’utiliser enchantements écrits contre le roi pour poursuivre objectifs personnels.

Il y avait ainsi la magie noire qui était en antithèse, logiquement, avec la loi et il s'éloignait des dieux.

Mais il faut dire aussi que fut utilisée la magie blanche (c'est-à-dire celle bénéfique ou défensive) spécialement pour tâcher de soulager douleurs et maladies, de côté du médecine, quand cette-ci dans ses limites ne pouvait pas guérir le patient. Nous voyons aussi ainsi ses applications étendues dans l'accouchement, dans l'allaitement, dans les menstruations; contre la morsure d'insectes et reptiles venimeux et fauves. Encore contre le crocodile qui tâche d’attenter à la sûreté du gué du bétail.

L'opérateur était un magicien mais la différence entre médecin, prêtre et magicien est difficile à définir, car ces professionnels pouvaient exprimer culture magique aussi dans leur travail.


La Magie et la médecine

La médecine : un bilan catastrophique
Il ne fait pas bon de vivre sur les bords du Nil, au temps des Pharaons. Vous êtes menacé par la variole, la lèpre, la bilhardioze, la dysenterie. Le climat humide et chaud favorise les parasites en tout genre : une ribambelle de vers vous dévorent les intestins. Votre espérance de vie ne dépassse pas trente ans. Si vous resistez à tout cela, vous avez de bonnes chances de finir aveugle, atteint d'un "trachome", un type de conjonctivité particulièrement contagieux.
Voilà le triste bilan que l'on peut tirer de l'état de santé des Egyptiens, à partir de l'examen des momies. En clair, la médecine Egyptienne ne semble pas performante pour un rond et doit recourir à la magie.
Les remèdes sont le plus souvent à base de plantes médicinlaes : des produits de la ruche (miel, cire), des minéraux (sel, cuivre), des substances aniamles (foie, sang). Les potions sont bues ou inhalées. Mais là encore, rien d'original. Les produits qui "marchent" sont connus pratiquement depuis la Préhistoire, et par toutes les civilisations. La pharmacopée égyptienne est parfaitement archaïque. La chirurgie semble se résumer à l'incision d'abcès, sutures, pose de drains et d'attelles. Aucun papyrus ne parle d'opérations plus lourdes.
De plus et en dépit de la technique poussée de la momification et des millions de cadavres ainsi traités, la connaissance anatomique des médecins égyptiens était rudimentaire.
Pas étonnant dans ces conditions que le médecin emploie souvent des formules magiques pour aider sa pauvre science

Une conception originale :

La médecine égyptienne n'est donc impressionnante ni dans sa methode, ni dans ses résultats, ni dans les problèmes qu'elle traître. En revanche, la conception qu'ont les Egyptiens du corps et des maladies est beaucoup plus originale. Les médecins égyptiens imaginèrent, comme principe de leur physiologie, un réseau de vaisseaux analogue aux canaux d'irrigation du Nil . Partant du coeur les "met" (conduits) irriguaient toutes les parties de l'organisme. Les "met" assuraient aussi l'acheminement des éléments pathogènes et facteurs de douleurs qui étaient la cause de fièvres malignes et des inflammations. Ils s'introduisaient dans l'organisme en se glissant par le nez et par les oreilles.

Tous ces maux sont le fait du sang, des âaâ, setet, oukhedou et autres créatures du dieu Seth, incarnation du mal et du désordre. Ces mauvais génies se faufilent dans les nombreux tubes qui sont censés parcourir notre chair et sèment la pagaille.

Le sang : généralement, le sang a un rôle bénéfique. Toutefois, certains passages de textes médicaux consacrés aux «substances qui rongent» attestent que le sang peut avoir un rôle pathogène. Le sang, animé alors par un souffle pathogène, se met à «manger», lit-on dans les textes. Il y aurait alors inversion pathologique du rôle du sang, ce qui en ferait un facteur particulièrement dangereux du fait de sa présence dans tout le corps. D'autres textes indiquent que, lorsque le sang ne lie pas les éléments composant le corps ou les aliments qui y pénètrent, il bloque le passage des souffles de vie. L'interprétation égyptienne des processus morbides tient compte des conceptions physiologiques de l'époque.

Le âaâ : il s'agit d'un émanation corporelle d'essence dlvine, pouvant se transformer en vermine intestinale. Il se transformait aussi en oul-hedou dont l'action décomposante provoquait les inflammations et la putréfaction des chairs. Un passage du traité de physiologie du papyrus Ebers indique qu'il provient du corps : «Quatre conduits se divisent au niveau de la tête et se déversent dans la nuque, puis ensuite, forment un réservoir. Une source/puits de âaâ, c'est ce qu'ils forment extérieurement à la tête.» C'est une sorte de "sécrétion corporelle», de fluide parfois émis par les corps des dieux et des démons, de liquides capables de se transformer dans l'organisme en éléments parasites variés. En raison de ses transformations, ce âaâ était tenu pour particulièrement dangereux. Les Égyptiens le croyaient notamment à l'origine de la vermine intestinale. Dans le passage du papyrus Ebers cité précédemment, le âaâ est le sébum, considéré comme une véritable semence. On peut supposer qu'il existait une théorie faisant jouer à ce âaâ-sébum un rôle essentiel dans la multiplication de la vermine qui infeste le corps des hommes (les poux notamment). L'une des principales actions nocives du âaâ est, nous allons le voir, d'être à l'origine de facteurs pathogènes très importants, les oukhedou. Certains textes indiquent que le âaâ peut engendrer les oukhedou, mais la nature de ces derniers est différente : l'action pathogène des oukhedou ronge le corps lui-même, tandis que le liquide fertilisant âaâ est pathogène par les substances qu'il engendre.

Les oukhedou : ce sont des éléments rongeants maléfiques. Les oukhedou sont liés aux matières en décomposition. Ce sont des principes issus de la matière fécale, qui se répandant dans les vaisseaux et gagnant les différentes parties du corps pour y déterminer la maladie. Les "oukhedou" sont l'émanation pathogène des excréments, "hesou". La présence oukhedou est synonyme de vieillesse et de mort. Selon les informations que l'on peut tirer des textes, les oukhedou seraient des substances animées par un souffle pathogène qu'on incorporait sans cesse en s'alimentant. Leur présence semblait expliquer la dissolution, sinon la putréfaction, de la nourriture dans le ventre de l'homme. Ils jouaient un rôle nocif en délitant la substance corporelle, ils s'opposaient aux processus de cicatrisation. Les oukhedou provoquent la douleur par leur action rongeante. Cette idée est exprimée directement par le texte d'un paragraphe du papyrus Ebers: «Si tu procèdes à l'examen d'un homme qui est atteint de cela épisodiquement, cela étant comparable à la morsure des oukhedou». Les Égyptiens considéraient que la douleur résultait d'un grignotage des chairs.

Les setet : plusieurs auteurs ont traduit setet par «rhumatismes», alors qu'il s'agit d'éléments pathogènes vivants qui créent des douleurs par leur passage dans les conduits corporels. Etant donné, qu'ils glissent plus difficilement dans les tuyaux, en frottant aux parois, ils provoquent de terribles douleurs qui irradient dans tout le corps. S'ils sont tués par un médecin mal inspiré, ils deviennent plus terribles encore.


Pas étonnant que la pharmacopée égyptienne, on trouve quantité de vomitifs, purgatifs et diurétiques. Les malades passent leur temps à expulser, par tous les moyens possibles, ces créatures qui les envahissent. Il s'agit de supprimer le désordre, avec l'aide de Thot, dieu de l'ordre. Et permettre ainsi au fluide vital, garant de la bonne santé de l'individu, de se déplacer à nouveau librement dans tous les conduits du corps.

J'espére que ça vous plaira . magie en Egypte 1639

Bises
magie en Egypte K_livre_
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Eärwen
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MessageSujet: Re: magie en Egypte   magie en Egypte EmptyMar 2 Nov à 10:22

j'ai fait une mauvaise manip est mon pseudo a disparu lol
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Eldalotë
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MessageSujet: Re: magie en Egypte   magie en Egypte EmptyVen 18 Fév à 21:49

Merci pour ce post!

Il est super!! je en l'avais pas vu

Bisous! flower
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MessageSujet: Re: magie en Egypte   magie en Egypte EmptySam 19 Fév à 0:28

Oui,merci qui que tu soit car ton post est tres intéréssant. convivialité

Eric
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MessageSujet: Re: magie en Egypte   magie en Egypte Empty

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